Depuis son meeting du 22 novembre, on aurait pu croire que Christian Estrosi s’accorderait un moment pour souffler.

Eh bien… non.

Visiblement, le bouton “pause” n’est pas inclus dans son fonctionnement interne.

Dès le dimanche matin, alors que Nice émergeait doucement et que les boulangers se demandaient encore combien de croissants ils allaient devoir refaire, lui était déjà en déplacement.

Certaines mauvaises langues affirment qu’il est plus souvent sur le terrain qu’à son bureau — mais bon, difficile de critiquer un maire qu’on retrouve partout… sauf peut-être à la sieste.

Rencontres, interventions, visites, échanges :

Estrosi a enchaîné les rendez-vous avec une endurance qui ferait rougir un marathonien.

Sécurité, cadre de vie, transitions futures…

Il a parlé de tout, avec cette aisance presque agaçante de ceux qui savent exactement où ils vont…

et qui aiment bien rappeler qu’ils y vont vite.

Côté politique, il a déroulé son message sans trembler :

un cap assumé, une vision long terme, et ce discours bien rôdé qui rappelle subtilement à tout le monde que la stabilité, ça a du bon.

Il n’a pas besoin de le dire directement :

ses déplacements parlent pour lui.

Quand d’autres discutent, lui coche les cases, serre les mains, vérifie les chantiers, discute budgets et projets — le tout avec la précision d’un chirurgien et la vitesse d’un pilote.

Sa méthode ?

Un mélange de sérieux, de politique assumée, et ce petit sourire qui dit :

« Oui, j’ai beaucoup parlé… mais j’avais aussi beaucoup à dire. »

Ce que Nice retient, au fond, c’est simple :

Un maire lancé en pleine vitesse, une équipe qui essaye de suivre sans perdre ses dossiers (ni son souffle), et une ville qui apprécie de voir que, pour lui, la campagne n’est pas un spectacle…

mais une démonstration de gestion, de terrain et de constance.

Et si certains espéraient qu’il ralentisse un peu après le meeting…

ils ont manifestement sous-estimé notre cher Maire. Encore une fois.

Lucie Marchese ♥️🖤